Ce dernier mot n'est généralement pas mentionnée dans les cercles de jeu, pour être honnête. Elle est l'une de ces balises que la société dans des utilisations générales d'étiqueter certaines personnes, et pour être franc, il est parfois galvaudé, en donnant des jeux de cartes comme le poker une mauvaise réputation. Pourtant, la réalité demeure. Il ya des gens qui deviennent dépendants de trop et ne peuvent pas se contrôler, ce qui entraîne de l'érosion de ses relations et la vie en général.
Tout n'est pas perdu, cependant. En fait, à la réserve indienne Viejas, il ya de bonnes nouvelles pour tous les intéressés. Un groupe de conseillers en toxicomanie ont été formés sur les dangers du jeu compulsif. Cela faisait partie d'un mouvement que les exploitants de casino sont à partir â € "pour aider ceux qui sont accros aux jeux d'argent. Intéressant, non?
Selon Mark Sauer de SignonSanDiego:
â € œWe nâ € ™ t nier qu'il ya un problème, â € déclaré Bobby Barrett, Président entrant de la tribu Viejas, président de l'Alliance California Business tribal et un conseiller de jeux certifiés.
â € œWe sont concernés par la santé et la sécurité des personnes dans nos casinos, et avec le risque pour les personnes au sein de nos propres € tribales communities.â
Self-help, programmes de 12 étapes se sont multipliés. Il ya eu 10 réunions de Gamblers Anonymous une semaine à San Diego County, il ya cinq ans, il ya aujourd'hui 35.
Le nombre de conseillers certifiés qui offrent la thérapie qu'ils disent est nécessaire pour redresser un joueur pathologique est scandaleusement faible.
â € œIâ € ™ m le seul que je connaisse de faire réellement de traitement dans le comté, un thérapeute € déclaré Suzanne Graupner Pike, qui a traité les joueurs en difficulté dans Vista depuis 2003. â € œThereâ € ™ s pas d'argent dans it.â €
La raison pour cela, Pike dit, est la â € œimpulse trouble de contrôle associés au jeu compulsif n'est pas considérée comme une maladie, comme l'alcool ou de drogue, et presque pas de compagnies d'assurance couvrent € it.â
Et les patients, Pike a ajouté avec ironie, n'ont pas d'argent.
La plupart des joueurs ayant des problèmes sérieux ou graves, qui représentent environ 4 pour cent des adultes en Californie, selon l'étude de l'État, ont des problèmes psychologiques comme la dépression, qui sont couverts par une assurance, Pike said.
â € œSociety doit comprendre que nous avons une crise médicale (avec des problèmes de jeu), et il devrait y avoir fédérales, étatiques et locales, les fonds disponibles pour l'éducation et de traitement, tout comme avec d'autres addictions, â € dit-elle.
Selon M. Barrett, la stateâ € ™ s naissante Bureau du problème et le jeu pathologique a un budget annuel de 3 millions de dollars. Il a dit que ce n'est pas loin d'être suffisant, notant, â € œAll de ce financement provient de la Californie tribes.â jeu €
Lefkowitz a déclaré il ya deux types de base de joueurs à problèmes: ceux qui prospèrent sur l'action, qui ont tendance à être des hommes, et ceux qui jouent à s'échapper, généralement les femmes.
Maintenant, je ne dis pas que je suis partial, mais il n'est jamais venu à l'esprit que les femmes seraient une grande partie de ce problème de dépendance au jeu! Je suppose que c'est une bonne chose, ce qu'ils font en Californie. Il est à seulement un vœu pieux de ma part, je pense que ce genre de chose n'aurait jamais dû arriver au début. Bien sûr, il ya certaines choses que nous ne pouvons pas contrôler. Pourtant, des activités comme celle-ci apporte de l'espoir à ceux qui en ont besoin.
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